280 organisations féministes, 3300 signataires de 56 pays demandent l’interdiction du commerce des mères porteuses

Le 25 novembre, à l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination des violences contre les femmes, des organisations féministes  et en faveur des droits humains demandent l’interdiction mondiale du commerce des femmes comme mères porteuses

Cet appel s’inscrit  en opposition à la prochaine convention internationale de la Conférence de La Haye de droit privé (HCCH) visant à réglementer les contrats internationaux en matière de maternité de substitution. Les conventions de la HCCH sont juridiquement contraignantes pour les États membres qui les ratifient.

Dans sa tentative de réglementer les accords internationaux en matière de maternité de substitution, la HCCH outrepasse son mandat. La question de la maternité de substitution relève des droits humains et non du droit privé. En outre, il existe un grave conflit d’intérêts, car trois des experts de la HCCH qui proposent une réglementation sont des personnes professionnellement impliquées dans l’industrie de la maternité de substitution.

Les organisations signataires demandent maintenant aux 85 États membres de la HCCH de mettre fin à leur projet sur la maternité de substitution et d’œuvrer pour l’abolition de toutes les formes de commerce d’enfants et de femmes les services reproductifs de reproduction.

Lisez l’appel ici.

Pour en savoir plus sur le travail de la HCCH sur la GPA, cliquez ici.

 

Aujourd’hui à 15h,  la CIAMS organise une conférence de presse pour rendre compte de cette situation

Joignez-vous à la conférence de presse ici. Accès avec le code : 228375

 

 

 

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