Backlash institutionnalisé et droits des femmes. L’alerte GPA

Backlash institutionnalisé et droits des femmes. L’alerte GPA

Le jeudi 7 mars 2024  18h30 – 20h30 heure en France /12h30-14h30au Québec

Webinaire organisé par La CIAMS

En visio. Inscription préalable à https://us02web.zoom.us/webinar/register/WN_UoP8ZGBSQtGxNngmnVpywA

 

La maternité de substitution, ou gestation pour autrui (GPA), a commencé à être pratiquée aux Etats-Unis, à la fin des années 1970. Elle est devenue, très rapidement, une pratique commerciale exportée dans d’autres pays et présente aujourd’hui sur tous les continents.

La matière première de cette pratique, ce sont les femmes : non pas les corps des femmes, mais les femmes en tant qu’êtres humains. Les clients en sont, majoritairement, des hommes ; les principaux bénéficiaires (patrons de cliniques, de cabinets d’avocats) aussi.

Dès la fin des années 1970, des mouvements pour les droits des femmes se sont fortement mobilisés pour critiquer et rejeter la GPA, en montrant qu’elle n’est en rien dans l’intérêt des droits des femmes, bien au contraire.

Mais, plus le discours politique, national et international, se réfère aux droits des femmes, voire s’affirme féministe, plus les institutions (nationales et internationales) ignorent délibérément les droits des femmes pour soutenir la GPA.

Le Backlash est à présent institutionnalisé : plusieurs organisations internationales se placent exclusivement du côté du marché de la GPA, ce qui affaiblit les droits des femmes (de toutes les femmes) et a des conséquences néfastes, parfois dramatiques, sur la santé et la vie des femmes.

Interventions (3 x (20’ présent + 10’ discussion) + 30’ discussion générale) :

  •  Le backlash des organisations internationales : Conférence de La Haye de droit international privé et Union européenne.
    – Ana-Luana Stoicea-Deram co-présidente de la CIAMS
  • Le cas de la Belgique, SWB, une Collective féministe, pour s’opposer à l’avis 86 du comité de bioéthique belge, en faveur de la GPA.
    – Valérie Lootvoet, directrice de l’Université des Femmes (Belgique)
    – Caroline Watillon, rédactrice indépendante et militante féministe, membre de la collective « women against  surrogacy Belgium »
  • : La GPA au Québec, une business comme une autre… Menace aux droits des femmes à l’égalité, à la sécurité et à la dignité.
    – Athéna Davis et Alexandra Houle, membres du comité GPA de Pour les droits des femmes du Québec PDF Québec

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