Belgique
Women Against Surrogacy en Belgique a été très active pour contrer l’avis n° 86 du Comité consultatif de bioéthique belge en faveur de l’ouverture à la maternité de substitution. Leur pétition a recueilli plus de 1 000 signatures et continue d’en rassembler.
La conférence qu’elles ont organisée à Bruxelles en collaboration avec la CIAMS et l’Université des Femmes a été bien suivie. Olivia Maurel, née par maternité de substitution, était l’une des intervenantes.
Une vidéo de la conférence est disponible sur notre chaîne Youtube, bien que le discours soit en français. Si vous êtes intéressé, regardez la vidéo ici : https://www.youtube.com/watch?v=z0hFXISwdAM&list=PLOFy545iD1PCvi3qh-CkRM4U6daPh07az&index=8&t=7s
Allemagne
En mars et avril, les salons de la maternité de substitution « Wish for a Baby » et « Men Having Babies » ont eu lieu à Berlin. Femen et Radfem Berlin étaient présents pour exprimer leur opposition. Consultez le rapport qu’ils ont produit à la suite de leur infiltration :
https://radfemkollektivberlin.net/2024/03/22/the-wish-for-a-baby-comes-with-a-price/
Depuis plus d’un an, une commission travaille sur un projet double pour lever l’interdiction de l’avortement et autoriser la maternité de substitution. Le magazine EMMA est à la pointe de la lutte pour rejeter l’ouverture à la maternité de substitution. Son numéro d’avril est dédié à ce sujet : https://www.emma.de/shop.
Un groupe de travail germanophone est actuellement en cours de constitution. Contactez-nous à si vous êtes intéressé.
Taïwan
Dans le cas de Taïwan, un projet de loi vise également à ouvrir la maternité de substitution. L’ICASM a contacté des organisations féministes partageant ses positions et s’opposant à cette ouverture.
« Donner naissance à un enfant signifie risquer sa vie, compte tenu des risques associés à la grossesse et des complications possibles liées à l’accouchement. Ce risque ne doit pas être transféré aux femmes économiquement et socialement vulnérables qui sont utilisées comme mères porteuses ».
- Shan Hsin-ai, secrétaire générale adjointe de l’Alliance Bouclier des Mères.
Selon elle, une enquête en ligne menée par l’Alliance entre le 17 décembre 2023 et le 1er janvier 2024 a montré que 82,1 % des répondants s’opposaient à la légalisation de la maternité de substitution.
Nous essayons également de contacter des organisations féministes et des droits humains en Thaïlande, où un projet de loi vise également à rouvrir la maternité de substitution transfrontalière, qui « rapporte des devises étrangères ». Avez-vous des contacts en Thaïlande ?
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